Hors-série – Où va le cinéma algérien ? – 2003

6 Entretien / Benjamin Stora :
L’absence d’images déréalise l’Algérie.
Elle construit un pays fantasmé qui n’existe.

Algérie année zéro
14 En Algérie, le cinéma est né militant, a grandi politique,
s’est étouffé dans le giron de l’Etat. Quinze ans après
une privatisation désastreuse, l’Année de l’Algérie
sera peut-être la chance d’un nouveau départ.
18 Les 14 films de l’Année de l’Algérie

Alger : Le cinéma algérien se réveille.
Rencontre avec eux qui le font.
22 On tourne. Nadir Moknèche réalise Viva Laldjérie sur la plage
et dans les rues d’Alger.
26 Yamina Bachir-Chouikh, réalisatrice de Rachida : Des gens viennent
voir leur histoire, leur vie.
32 Le pays des salles perdues. L’Algérie des premières années de
l’indépendance était fière de son réseau de plus de 400 salles.
Aujourd’hui, il en reste à peine le dixième.
35 Souvenirs du Télécinclub, par Ahmed Bedjaoui.
36 Boujemaa Karèche, directeur de la Cinémathèque d’Alger :
Paris : Quel rapport les enfants de l’immigration entretiennent-ils avec l’Algérie ?
42 Les Cahiers ont réuni cinq cinéastes de l’immigration : 
C’est à nos parents qu’on rend hommage, ce sont eux qui ont vécu l’exil, le déracinement
(de droite à gauche sur la photo : Christophe Ruggia, Mehdi Charef, Yamina Benguigui,
Bourlem Guerdjou et Rabah Ameur-Bedjaoui.
44 à 50 Une seconde génération d’acteurs ?
Témoignages de Fejria Deliba, Rachida Brakni, Zinédine. Soualem, Jalil Lespert, Nadia Kaci.