N°568, mai 2002

Ce numéro des Cahiers du cinéma est largement consacré au Festival de Cannes 2002. Il examine les tendances de la sélection officielle et propose des entretiens avec des réalisateurs tels que David Cronenberg (Spider, c’est moi !), Amos Gitaï (Mon cinéma, forcément subversif) et Catherine Breillat à propos de son film Sex is Comedy. Des analyses critiques de films comme Kedma, Sex is Comedy et Hollywood Ending de Woody Allen sont également au rendez-vous.
Le magazine explore l’état du cinéma français dans le monde, en s’intéressant notamment à la perception des films français en Chine, ainsi qu’à la présentation des films restaurés de Paul Morrissey (Flesh, Trash et Heat). Une place particulière est accordée à Spider de David Cronenberg.
Au-delà de Cannes, le magazine propose une rétrospective de Playtime de Tati, un retour sur Billy Wilder et un questionnement sur la montée de la violence dans le cinéma contemporain et son impact potentiel sur le jeune public.
Enfin, le magazine inclut un dossier sur la place du cinéma français à l’international et un débat sur la place de la politique dans le cinéma. Une vue d’ensemble de la sélection cannoise ainsi qu’un article sur le retour en force des acteurs français dans les productions étrangères viennent compléter ce numéro.