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Sentimental Value de Joachim Trier

Trier la maison La « valeur sentimentale » du film de Joachim Trier est celle que deux sœurs accordent à leur maison familiale dont l’héroïne Nora (Renate Riesve, primée à Cannes en 2021 pour Julie en 12 chapitres) avait fait la narratrice d’une rédaction marquante dans sa scolarité. Très vite, l’idée d’un dispositif à la Here de Robert Zemeckis (raconter l’histoire des habitants successifs d’une maison) est escamotée au profit de la prolifération d’autres scènes : celle du théâtre où Nora fait carrière avec un succès menacé par de soudaines crises d’angoisse, et celle à venir du plateau de cinéma où le père des deux femmes, cinéaste, propose à Nora de participer au film qui relancerait enfin son activité artistique de septuagénaire ringardisé. Sa demande, au moment de la mort de sa femme divorcée, déstabilise la fratrie : désormais seul propriétaire de la maison, il semble aussi s’approprier l’histoire familiale, alors qu’il a déserté le foyer quand ses filles étaient enfants. À l’opposé de Dogma95 qui, il y a trente ans, déboulonnait les pères avec moult secousses, la manière « trierienne » consiste à décrire la tristesse insidieuse des conflits déminés, fluidifiés en larme à l’œil insistante, des pétages de plomb convertis en fond dépressif. Trier est tchéchoviste : un stakhanoviste de la douceur. Mais la « valeur sentimentale » se pose en général pour le cinéma du Norvégien désormais abonné de la compétition : mettre en scène des personnages émus suffit-il à émouvoir ? Négligeant les ponts possibles avec les pièces que joue Nora et les recherches archivistiques de sa sœur, Trier mise tout sur l’humeur (les ballades pop-folk insistantes qui ouvrent et ferment le film). Trier accumule les échanges en champ-contrechamp entre sœurs et entre chacune d’elles et le père, fouillant les traits des acteurs, sûr que la psychologie possède une « valeur » à la fois existentielle et esthétique. On le sent convaincu de trouver encore dans le visage, unité originelle du cinéma, la transcendance athée qui manque. « Prier n’est pas s’adresser à Dieu, c’est exprimer son désespoir » : répétée au cours du film, cette phrase est à entendre en remplaçant « prier » par « tourner ». Mais la séquence du film finalement réalisé par le père vient souligner que ce volontarisme des émotions tient de la méthode Coué. La scène a la même texture que le reste de l’étoffe fictive : sentimentale mais dérythmée, offerte au seul salut de la sincérité des intentions. Charlotte Garson À lire également :  Valeur sentimentale de Joachim Trier | Fiche film Sélection de la Compétition officielle 2025 Tableau des étoiles de la Compétition officielle 2025
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L’Agent secret de Kleber Mendonça Filho

L’espion qui venait du chaud Il y avait de quoi craindre la promesse « cinéma de genre » de L’Agent secret, tant Bacurau (2019) réduisait les codes narratifs du western et du film d’action à un manichéisme strictement discursif. Mais Kleber Mendonça Filho fait ici le contraire : se déroulant dans les années 1970, L’Agent secret suit un universitaire menacé par la dictature pour des raisons d’abord sombres et prend du polar ce qu’il a de plus éclaté, incohérent, déviant, se permettant les fausses pistes, excursions fantastiques et autres détours cauchemardesques. L’idée est simple, mais difficile à exécuter : un pays comme le Brésil, a fortiori en temps de dictature, est impossible à raconter. Et la beauté du film tient à sa façon de confondre les fausses pistes et les éléments clés pour la compréhension. Pas dans le sens où on ne saurait pas les distinguer, mais où les uns ne pourraient pas exister sans les autres, à l’image de cette séquence d’ouverture où le protagoniste (Wagner Moura) vit une rencontre tendue avec la police dans une station de service devant la présence d’un cadavre posé là comme un résidu en décomposition, scène sans conséquence dans le récit mais qui le hante autant que le destin du héros. Si le festival de Cannes n’est surtout pas la maison du spectateur attentif, les salles abondant en corps fatigués et en yeux basculant inévitablement dans la sieste, il y avait dans cette séance une forme de joie à s’abandonner, à laisser emporter sa conscience dans la complexité où les personnages eux-mêmes naviguent, entre faux noms, rencontres tordues avec la justice et le pouvoir, rassemblements de persécutés, labyrinthes bureaucratiques et fusillades. Si le cœur de la trame se déroule en plein carnaval dans l’état du Pernambouc, ce n’est pas par recherche d’exotisme ou volonté d’ajouter de la confusion à la confusion : la fin du film ôte petit à petit son déguisement, le montage dévoilant de façon de plus en plus visible un présent qui montre sa tête par la porte du récit et qui regarde ce passé sans le comprendre. Revoici Moura déguisé en docteur, fils du protagoniste, incapable lui-même d’en dire plus sur des événements dont il ne saurait tirer le fil dans un pays changeant constamment d’habits le corps meurtri de son histoire. Fernando Ganzo À lire également :  L’agent secret de Kleber Mendonça Filho | Fiche film Sélection de la Compétition officielle 2025 Tableau des étoiles de la Compétition officielle 2025
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Nouvelle vague de Richard Linklater

Loin du temple Pour apprécier Nouvelle vague, il faut accepter que Godard devienne un personnage de fiction, c’est-à-dire ne pas exiger une fidélité mais s’amuser des projections que permettent son image, son mythe, avec leur part de clichés. La première raison pour laquelle Linklater gagne son pari est que son geste est amoureux, à l’inverse de celui, revanchard, du Redoutable d’Hazanavicius, dont ce film est en bien des points l’antithèse. Amoureux mais pas dévot ni solennel. Linklater n’est pas intimidé par son sujet, notamment parce que ce n’est pas Godard seul qui l’intéresse mais sa jeunesse, sa désinvolture, son insolence parfois un peu crapuleuse, et tout ce que cela dit d’une époque et d’une manière de faire du cinéma. Malgré le noir et blanc, le format carré et les clins d’œil, le film n’est pas non plus un pastiche, ni même un plagiat assumé (ce que Godard revendiquait) : s’il retrouve quelque chose de ce cinéma-là c’est moins dans la forme du film que dans l’énergie de sa fabrication. Ne cherchant pas non plus à l’« actualiser » en le regardant avec des yeux et des idées de 2025,  il le rend au présent par ses partis pris de tournage : essentiellement, une bande de jeunes acteurs réunis dans une aventure légère. Ainsi, on cesse vite de jouer au jeu des ressemblances, car là n’est pas la question. L’enjeu est plus libre, il est du côté du « on dirait que… » des enfants : « on dirait que je suis un réalisateur français de la fin des années 50 et que vous êtes Godard, Truffaut et compagnie… ». Un nom, un costume, une vague ressemblance, une imitation plus ou moins appuyée suffisent à s’amuser comme des gosses, c’est-à-dire sans le poids du mythe ou du surmoi. Bien heureusement, ça ressemble donc bien moins à un essai docte sur le génie suisse qu’au spectacle qu’offrirait une troupe de jeunes cinéphiles un peu fétichistes et surtout suffisamment désinvoltes pour démontrer aux gardiens du temple qu’il n’y a pas de temple qui vaille. De Godard, Linklater retient avant tout une forme de joie créatrice, qu’il rend contagieuse, et qu’il ait réalisé un petit film jovial sur un sujet si imposant prouve la tendre honnêteté de son geste. Marcos Uzal   À lire également :  Nouvelle vague de Richard Linklater | Fiche film Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025
par Marcos Uzal
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Renoir de Chie Hayakawa

Depuis l’enfance Renoir (à mon sens, le film de la compétition cannoise le plus stimulant vu jusqu’à aujourd’hui) est de ces films dont on ne saurait résumer facilement ce qu’il raconte, encore moins de quoi « ça parle », et que l’on ne peut précisément aborder qu’en disant d’abord depuis où il regarde. Sa forme éclatée, flottante et impressionniste traduit les mille perceptions d’une enfant – Fuki, 11 ans –, qui vit avec sa mère tandis que son père est à l’hôpital, en phase terminale de cancer. Loin d’être larmoyant, le film endosse au contraire l’incertitude émotive de la fillette (génialement incarnée par Yui Suzuki). Dans le présent des sensations plus que dans le recul des sentiments, Fuki est guidée par son désir de voir et d’expérimenter, mais, peu expressive, elle saisit surtout la tristesse de ce qui lui arrive à travers les réactions des adultes. Comme elle, le film est à la fois hypersensible (aux lumières, aux couleurs, aux sons) et rétif au pathos, là où tout pourrait y conduire. Le récit frôle parfois le conte, par les rituels et croyances que s’invente Fuki pour répondre à la mort qui l’entoure, mais aussi à travers des figures d’hommes à la fois fascinants et répugnants, dont l’un (un jeune pédophile qui l’amène chez lui, d’où elle s’échappera à temps) serait l’ogre de l’histoire. Chie Hayakawa, plongeant dans ses propres souvenirs, parvient ainsi à retrouver la texture d’une perception enfantine, quand le sens des choses est encore si opaque que tout existe dans son intensité même, et que les adultes restent des mystères aussi vastes et inquiétants que le désir, la tristesse ou la mort. Marcos Uzal   À lire également : Renoir de Chie Hayakawa | Fiche Film Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition 2025
par Marcos Uzal
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Resurrection de Bi Gan | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★ Charlotte Garson : ★ Élodie Tamayo : ★ Yal Sadat : ★ Marcos Uzal : ★ Fiche technique Réalisation : Bi GAN Scénario/dialogues : Mascha SCHILINSKI, Louise PETER Image : Jingsong DONG Casting : Jackson YEE Shu I Mark CHAO Li GENGXI Jue HUANG Chen YONGZHONG Pays : Chine, France Distribution : Les Films du Losange Production : Arte France Cinéma, CG Cinéma, Dangmai Films Durée : 160 minutes À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025 Top 10 de la Rédaction 2016
par La rédaction
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Sound of falling de Mascha Schilinski | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★ Fernando Ganzo : ● Charlotte Garson : ★ Thierry Méranger : ★ Marcos Uzal : ★★ Fiche technique Réalisation : Mascha SCHILINSKI Scénario/dialogues : Mascha SCHILINSKI, Louise PETER Image : Fabian GAMPER Casting : Hanna HECKT Lena URZENDOWSKY Laeni GEISELER Susanne WUEST Luise HEYER Lea DRINDA Florian GEIßELMANN Greta KRAMER Claudia GEISLER Zoë BAIER Lucas PRISOR Filip SCHNACK Konstantin LINDHORST Luzia OPPERMANN Bärbel SCHWARZ Gode BENEDIX Martin ROTHER Pays : Allemagne Distribution : Diaphana Distribution, MK2 Films Production : Studio Zentral, ZDF/Das kleine Fernsehspiel Durée : 149 minutes À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
par La rédaction
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Woman and Child de Saeed Roustaee | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★★ Fernando Ganzo : ● Charlotte Garson : ★ Élodie Tamayo : ● Thierry Méranger : ★★ Fiche technique Réalisation : Saeed ROUSTAEE Scénario/dialogues : Saeed ROUSTAEE Casting : Payman MAADI Parinaz IZADYAR Soha NIASTI Pays : Iran Distribution : Diaphana Distribution, Goodfellas Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
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Die, My Love de Lynne Ramsay | Fiche film

L’avis de la rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★ Charlotte Garson : ● Thierry Méranger : ★ Fiche technique Réalisation : Lynne RAMSAY Scénario/dialogues : Enda WALSH, Lynne RAMSAY, Ariana HARWICZ Image : Seamus McGARVEY Casting : Jennifer LAWRENCE Robert PATTINSON Lakeith STANFIELD Sissy SPACEK Nickk NOLTE Pays : Grande-Bretagne Production : Black Label Media, Excellent Cadaver Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
par La rédaction
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Valeur sentimentale de Joachim Trier | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★★ Charlotte Garson : ★ Thierry Méranger : ★ Marcos Uzal : ● Critique du film « Trier la maison » par Charlotte Garson Fiche technique Réalisation : Joachim TRIER Scénario/dialogues : Joachim TRIER, Eskil VOGT Image : Kasper TUXEN ANDERSEN Casting : Renate REINSVE Inga IBSDOTTER LILLEAAS Stellan SKARSGARD Elle FANNING Cory Michael SMITH Lena ENDRE Jesper CHRISTENSEN Catherine COHEN Bjorn ALEXANDER Jonas LINDEGAARD JACOBSEN Pia BORGLI Pays : France, Norvège, Allemagne, Suède, Danemark Production : Zentropa productions, Arte france Cinéma, MK2 Productions, Komplizen Films, Mer Film, Lumen Films Distribution : Memento, MK2 Films À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025 Sentimental Value de Joachim Trier  
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Romería de Carla Simon | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★ Charlotte Garson : ★ Élodie Tamayo : ★★ Thierry Méranger : ★ Marcos Uzal : ★★ Fiche technique Réalisation : Carla SIMON Scénario/dialogues : Carla SIMON Casting : Llúcia GARCIA Mitch Tristan ULLOA Janet NOVAS Celine TYLL Alberto GRACIA Miryal GALLEGO José Angel EGIDO Sara CASASNOVAS Pays : Espagne, Allemagne Production : Elastica Films, Ventall Cinema Distribution : Ad Vitam, MK2 Cinémas À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
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Les Aigles de la République de Tarik Saleh | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★★ Charlotte Garson : ★ Thierry Méranger : ★★ Marcos Uzal : ★ Fiche technique Réalisation : Tarik SALEH Scénario/dialogues : Tarik SALEH Image : Pierre AIM Casting : Fares FARES Zineb TRIKI Lyna KHOUDRI Amr WAKED Cherien DABIS Sherwan HAJI Suhaib NASHWAN Pays : France, Suède Production : arte france Cinéma, Memento Production, Unlimited Stories, Apparaten, Ström Pictures, Bufo, Films Boutique Distribution : Memento, Playtime Durée : 125 minutes À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
par La rédaction
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Un simple accident de Jafar Panahi | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★★ Charlotte Garson : ★★ Élodie Tamayo : ★★ Thierry Méranger : ★★ Marcos Uzal : ★ Fiche technique Réalisation : Dominik MOLL Scénario/dialogues : Dominik MOLL, Gilles MARCHAND Image : Patrick GHIRINGHELLI Casting : Léa DRUCKER Yoann BLANC Guslagie MALANDA Antonia BURESI Kévin DEBONNE Dorothée MARTINET Etienne GUILLOU-KERVERN Aleksandra YERMAK Laurent BOZZI Pays : France, Iran Production : Haut et Court, France 2 Cinéma Distribution : Haut et Court, Charades À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025 Flashback – Mai 2010 : Panahi ne sera pas juré à Cannes  
par La rédaction
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Mastermind de Kelly Reichardt | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★★★ Charlotte Garson : ★★ Thierry Méranger : ★★★ Elodie Tamayo : ★★★ Yal Sadat : ★★★ Marcos Uzal : ★★★ Fiche technique Réalisation : Kelly REICHARDT Scénario/dialogues : Kelly REICHARDT Image : Christopher BLAUVELT Casting : Josh O’CONNOR Alana HAIM John MAGARO Hope DAVIS Bill CAMP Gaby HOFFMANN Rhenzy FELIZ Amanda PLUMMER Eli GELB Cole DOMAN Javion ALLEN Mattew MATHER Juan Carlos HERNANDEZ Ryan HOMCHICK Jean ZARZOUR Margot ANDERSON-SONG Pays : Etats-Unis Production : Filmscience, MUBI Distribution : MUBI À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025 Top 10 2023  
par La rédaction
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Dossier 137 de Dominik Moll | Fiche film

L’avis de la Rédaction Cotations : ● inutile de se déranger ★ à voir à la rigueur ★★ à voir ★★★ à voir absolument ★★★★ chef-d’oeuvre Olivia Cooper-Hadjian : ★ Fernando Ganzo : ★ Charlotte Garson : ★ Marcos Uzal : ★   Fiche technique Réalisation : Dominik MOLL Scénario/dialogues : Dominik MOLL, Gilles MARCHAND Image : Patrick GHIRINGHELLI Casting : Léa DRUCKER Yoann BLANC Guslagie MALANDA Antonia BURESI Kévin DEBONNE Dorothée MARTINET Etienne GUILLOU-KERVERN Aleksandra YERMAK Laurent BOZZI Pays : France Production : Haut et Court, France 2 Cinéma Distribution : Haut et Court, Charades Durée : 115 minutes À lire également :  Sélection Compétition 2025 Tableau des étoiles – Compétition officielle 2025  
par La rédaction

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